2016 – finaliste – Luxembourg Art Prize – Galerie Hervé Lancelin – Luxembourg
Le Luxembourg Art Prize est un prix international annuel organisé par la Pinacothèque du Luxembourg, un espace d’exposition privé à but non lucratif. Chaque année, le prix vise à découvrir des talents, amateurs ou professionnels, quels que soient leur âge et leur nationalité. L’ambition du prix est d’accélérer la carrière d’artistes méconnus à travers une exposition collective des finalistes et le soutien du réseau international des finalistes du prix, existant depuis 2015.
Artistes finalistes : Alexei Alexander Izmaylov, Renata Franzky, Jaeyeol Han, Bartosz Kolata, Maurice Mbikayi, Graciana Piaggio, Jose Eduardo Sierra Vega, Melissa Vandenberg et Simon Vienne
Vainqueur : John Haverty
« Soccer Time », Malta – 2014 – Simon Vienne
three copies : 90x60cm – 90x60cm – 60x40cm
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2016 – Nos États d’Amériques – festival off Transphotographiques 2016 – Galerie des maires – Tourcoing – France
Dans cette série, je travaille sur l’influence de la culture américaine sur le paysage du territoire du Nord Pas De Calais Picardie et de la Belgique. Via des cadrages précis, je montre dans quelles mesures et de quelles manières des infrastructures typiques de la culture américaine, ou sous l’influence de celle-ci, s’intègrent dans notre paysage. Cette démarche crée un point de comparaison entre ces deux cultures et accentue un contraste qui aujourd’hui fait partie de notre quotidien. Dans ce travail je questionne l’Américanisation du territoire et propose un regard critique sur cette interculturalité.
« L’Amérique du Nord occupe une place particulière dans l’histoire de la photographie sans doute en raison de son dynamisme et de l’idéal démocratique qu’elle partage avec elle.
Média de masse célébré par George Eastman, fondateur de Kodak, la photographie à l’image de son public traduit une grande diversité à laquelle nous avons choisi de contribuer. En vous présentant nos « États d’Amérique » nous avions à cœur de réunir différents points de vue concernant l’influence de la culture américaine sur notre territoire.
Le pôle photographique du Virolois prépare deux titres, le certificat technique des métiers et le brevet technique des métiers.
La formation est conçue par des professionnels en exercice et permet de répondre aux besoins actuels des entreprises de l’image en constante mutation. Le projet personnel occupe une place centrale dans le cursus de chaque apprenti photographe. »
Avec la participation des apprentis et des intervenants de la section BTM photo :
Christophe Cellier, Nina Marchand, Justine Cerveaux, Peggy Coopman, Hélène Mouton, Christophe Duclaux, Typhaine Poissonié, Quentin Macquart, Simon Vienne, Marc Dubord, Sarah Baboro, Bernard Cuisinier, Christophe Oget, José Carlos Manyari, Deborah Priem, Pierre Dorgny.
2015 – URBEX a Simon Vienne photography exhibition – Splendid – Valletta – Malta
L’Urbex (Exploration Urbaine) est le fait de visiter des lieux créés par l’homme qui sont désormais abandonnés, oubliés et souvent interdits. l’Urbex liée à la photographie capture une dernière fois ces lieux de la plus belle des manières. Cette pratique permet de s’évader et de découvrir un autre monde. En effet, en un instant, juste le temps de passer sous une clôture ou d’escalader un mur, on passe d’une activité urbaine vivante à une zone urbaine sombre et isolée. La quête du beau dans le laid et l’esthétisme poétique né de la désolation urbaine et de l’abandon sont les thèmes qui poussent Simon à créer ses images. En effet, ces lieux sont souvent voués à la démolition ou à la rénovation alors qu’ils regorgent d’histoires humaines et d’histoire. Alors pourquoi ne pas l’immortaliser une dernière fois en immortalisant l’architecture mais aussi la poésie et l’étrangeté qui lui sont associées ? La nature prenant le dessus sur la création humaine, les œuvres de street-art, les multiples couches de textures, la lumière entrant par une fenêtre brisée, un sol poussiéreux, des meubles anciens sont les éléments qui contribuent à la singularité de ces lieux. A travers son travail, Simon tente de traduire ces sentiments afin d’interroger et de sensibiliser le public à l’existence inhérente de la beauté en toute chose. Cette exposition réalisée par la Fondation Jean De La Valette pour l’Art et la Culture entend redéfinir notre rapport culturel, sociologique et artistique à l’environnement construit puis délaissé par notre société.